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Native de Montréal, Lise Dion voit le jour le 18 septembre 1955. La route qui la conduira à la reconnaissance est longue, mais semée de plusieurs victoires annonciatrices de l’éclatant succès qu’elle connaît aujourd’hui. Diplômée en théâtre au Conservatoire LaSalle, Lise Dion rafle, dès 1988, le Premier prix du concours de sketches Bell Canada. Elle sera consacrée Découverte féminine au Festival Juste pour rire l’année suivante puis proclamée Grande Révélation du Festival en 1995. C’est en février 1997 que Lise Dion effectue la grande première de son premier spectacle en carrière intitulé Lise Dion dans son premier one woman show. Son talent explose littéralement et le public et la critique découvrent alors une artiste hors du commun. Pas étonnant qu’elle rafle trois Félix au gala de l’ADISQ 1998 : Révélation de l’année, Spectacle de l’année – humour et, de concert avec François Léveillée, Peter MacLeod, Gilles Cormier et Louis-Philippe Rivard, Scripteurs de spectacles de l’année. Le spectacle est si populaire que Lise se voit remettre une plaque soulignant la vente de 300 000 billets, ce qui fait d’elle la cinquième artiste et la première femme à recevoir cet honneur depuis que les certifications, remises par l’Adisq, existent. Et à la fin de cette tournée, ce sont plus de 350,000 billets qui sont vendus. Après une sabbatique bien méritée, Lise Dion marque son retour avec un second spectacle dont plus de 100 000 billets s’écoulent avant même la première. Du jamais vu! Encore une fois, les critiques encensent ce nouveau spectacle et Lise se mérite quatre trophées lors du gala des Olivier – édition 2002 : Numéro d’humour de l’année, Performance scénique de l’année, Spectacle d’humour de l’année et, à nouveau, Humoriste de l’année puisqu’elle a remporté cet honneur en 1999 et en 2000. Dans la foulée, le quotidien La Presse la nomme Personnalité de la semaine. Au gala de l’ADISQ, édition 2002, Lise se mérite à nouveau le Félix dans les catégories Scripteurs de spectacles de l’année de concert avec François Léveillée et François Massicotte, et Spectacle de l’année – humour.En avril 2003, Lise Dion réussissait un autre exploit majeur : elle devenait l’une des rares artistes, et la seule femme, à présenter son spectacle 50 fois au Théâtre St-Denis I. À la fin de la tournée, plus de 400 000 billets de ce nouveau spectacle se sont écoulés. Parallèlement à sa carrière d’humoriste, Lise Dion s’est initiée au métier de comédienne en campant le personnage de Laura Cadieux pour la série télévisée réalisée par Denise Filiatrault et diffusée en 2003. Elle a par la suite prêté sa voix au personnage de Blizzard – Whoopi Goldberg faisait cette voix dans la version anglaise – dans le film du même nom sorti sur les écrans en décembre 2003. Toujours côté cinéma, c’est à Lise qu’on a confié le rôle de Manda Parent dans le film Ma vie en cinémascope qui relate la vie d’Alys Robi. Par la suite, elle s’est à nouveau retrouvée dans la peau de Laura Cadieux puisque la deuxième série fût diffusée sur les ondes de TVA l’automne passé. La série ayant eu tellement de succès qu’une troisième année est tournée durant l’été 2006. De plus, le DVD de son spectacle Lise Dion en tournée qu’elle a présenté devant plus de 400 000 spectateurs au cours des trois ans et demi qu’a duré cette tournée a été lancé au mois d’octobre 2005 depuis près de 60 000 personnes se sont procurées un exemplaire. Après avoir conquis le public québécois… la France lui demande de participer à l’émission consacrée à la star française Gad Elmaleh; elle se rend sur le plateau de Vivement dimanche animé par Michel Drucker … et le public l’adopte! Un nouveau rêve pour Lise Dion se concrétise. En 2007 elle campe Laura Cadieux pour la troisième saison au réseau TVA où plus d’un million de spectateurs sont au rendez-vous. Pour souligner les 25 ans du Festival Juste pour rire, Lise est appelée à animer son propre Gala Juste pour rire. En 2008, elle fête ses vingt ans de carrière!!! Elle souligne cet événement par la sortie d’un DVD qui passe en revue ses 20 ans d’humour. En 2009, elle signe car elle signe la mise en scène du spectacle Complices des Grandes Gueules, ce qui lui vaut une nomination au gala des Olivier 2009. Elle fait un retour à la télévision, mais dans une série policière cette fois, Le Gentleman, réalisée par Louis Choquette et présentée à TVA. Lise anime également pendant un an, une émission diffusée sur les ondes de Rock Détente et intitulée Lise Dion à l’appareil. En 2010, elle fait une incursion dans l’univers musical et signe la mise en scène du spectacle « Pour cet amour» de Marie-Hélène Thibert. En 2011, Lise publie son premier récit Le secret du coffre bleu, où elle raconte l’incroyable histoire de sa mère faite prisonnière pendant la deuxième guerre mondiale, et qui connaît un succès fulgurant. Le livre s’est écoulé à plus de 75 000 copies à ce jour, au Québec seulement, et il est en vente en Pologne, au Canada anglais, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il est actuellement en cours de traduction en chinois. 2011 marque également le retour de Lise dans Le temps qui court, son troisième one woman show. Le succès est instantané et Lise rafle le Félix du Spectacle de l’année – humour au gala de l’ADISQ et de Spectacle le plus populaire au gala Les Olivier. En 2013, un grand spectacle télédiffusé souligne de façon magistrale les 25 ans de carrière de Lise, et elle se voit remettre pour l’occasion une plaque soulignant la vente d’un million de billets de spectacles, ce qui est un exploit quasi inégalé pour un artiste québécois.